En attendant l'hiver
Le temps est revenu des torpeurs du sommeil
Et du renoncement à l'éternelle verdeur
Des amours partagés dans la douce chaleur
D'un soleil déclinant vers le ponant vermeil
Les vivants qui l'été s'enivraient de soleil
Contemplant du sommet d'un vieux château ruiné
La Comté bienheureuse dans sa douce clarté
Cheminent en solitude et la mémoire en veille
Ainsi le coeur et l'âme choisissent le silence
Les horizons de brume et les sommets venteux
La raison lutte encore en formulant le voeu
Que demeure l'harmonie sans blessures ni offenses
Et les allées couvertes balisent le passage
D'un marcheur méditant, familier de ces lieux
Les rivages du mystère sont toujours silencieux
Cette terre hors du temps demeure l'Eden des sages
vu d'Orléans, on a vraiment envie de connaître ce pays! bien amicalement à toi
RépondreSupprimercatherine