"Pas de rose sans épines, mais beaucoup d'épines sans rose"Irvin Yalom "La méthode Schopenhauer"
Aux chemins creux d'hier, sans fin tu chercheras
Dans la brise légère et le murmure de l'eau
Les instants disparus de patients pas à pas
Aux rives d'un grand lac, au rythme de ses eaux
Le soleil dore encore la pierre qui s'échine
A dresser vers le ciel ses arêtes saillantes
Au fond de la vallée, sous la mousse, les ruines
Conservent en secret des histoires troublantes
Dans l'été finissant se prépare le sommeil
Du pays des légendes, des landes et des bois
Les roses déjà se fanent sous le dernier soleil
Resteront les épines et l'attente du froid!
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