Instants transitoires ou :"Devant la porte du voyage infini". Huile sur toile de Réon
Je revois les grands chênes et la vallée si douce
Au soleil déclinant
Les accents de nos voix aux murmures d'une source
Emportés par le vent...
Ne pleurons pas les heures des étreintes éphémères
Et des roses d'antan
Corps et coeurs en accord, le temps figé d'hiver
Ne sied guère aux amants
Devant la porte du voyage infini. Huile sur toile de Réon |
Devant l'espace ouvert sous l'arche du destin
Revivent d'anciens rêves
Le grimoire me suggère une coupe de vin
Pour colorer tes lèvres
Les orgues et la harpe ont rompu le silence
Vibrations de l'espace
Habité des désirs et brûlures de l'absence
En la saison des glaces
Devant la porte ouverte du voyage infini,
Destinées suspendues
Nos coeurs à l'unisson effacent les oublis
Et les espoirs déçus
Regarde la lumière qui frange l'horizon
 l'aube renaissante
Promesse des couleurs, des saveurs et des sons
Que demain réinvente.
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