Liberté pour les otages au Sahel
An moment où nous fêtons la musique et le solstice d'été, quatre de nos concitoyens sont encore retenus dans le désert depuis plus de mille jours. Je connais l'un d'entre eux, le géologue Daniel Larribe, collègue de travail en 1983 au Cameroun et pour lequel j'ai toujours eu une grande estime . Le silence respecté depuis le début par les familles et les proches n'a pas donné de résultats jusqu'à présent. Il faut donc en parler aujourd'hui pour que cesse l'insupportable!Rejoignez les comités de soutien organisés dans chaque région et signez la liste de soutien aux familles afin de témoigner que nous ne les oublions pas.Pour en savoir plus: www.otagesniger.fr ou otagesniger.orleans@gmail.com en lien avec l'association COSOAN.
Il y a, bien entendu, plusieurs choses "insupportables", au sujet de ce qui est rappelé ici par Pierre! Par exemple, l'extrême violence faite à ces quatre personnes; violence également infligée à leurs familles et amis; la violation des droits de l'homme; l'exceptionnelle injustice que cette situation d'otages entraîne avec elle; l'humiliation de l'espèce humaine et une perte, pour chacun d'entre nous, d'une partie de sa dignité, de sa liberté, de son humanité et de sa joie de vivre!
RépondreSupprimerEncore une fois, à qui ou à quoi ce malheur se rattache? Au sempiternel fanatisme religieux qui voit dans ses "paroles révélées" l'expression de ce qu'il y a de plus "sacré", alors qu'en revanche, le coeur réel des personnes maltraitées, ne peut en rien revendiquer un rapport quelconque avec la vie constituant, à mon sens, ce qu'il y a pourtant de plus sacré en ce monde! JYJ